Jolie chanson, beau duo vocal, et pis Madame quelle photo band... triq... esthétique !

Note globale


(pour le coffret)


Euh... Cinq minutes en stéréo et 4/3 ? J'ai bien lu?

Editeur : Polydor
Durée totale : 0 h 05

(PCM)

Image        PAL

De très beaux contrastes pastel, une excellente définition, une compression qui se débrouille bien (encore heureux), mais bordel pourquoi pas de 16/9 ?
Clip : Les mots
Note punitive : pas de 5.1 ici, c'est vraiment nul ! Sinon effectivement c'est bon... (Je sens que cette critique est vraiment à chier... pas vous ? ;-)
Je donne cette note car le DVD est vide de chez vide, mais honnêtement, c'est pour tout sauf ce DVD que vous achèterez ce coffret, par ailleurs excellentissime.
Mais que voulez-vous qu'on dise ? Hein ? Comment voulez-vous faire deux paragraphes, même minuscules, sur un DVD qui dure 4 minutes ?!? Car pas la peine de chercher des bonus, des easter eggs ou autres : nous avons ici le clip de "Les mots", point barre. En cinémascope respecté mais non anamorphique, en PCM (encore heureux, c'est pas la place qui manquait !), sans paroles, sans making-of, sans rien du tout. Le néant absolu. Alors bien sûr, le clip est sympathique, on note le retour de Boutonnat (en petite forme mais ca reste meilleur que tout le reste), mais comme "DVD bonus", excusez-moi, on a vu mieux ailleurs... Partout ailleurs.

Donc à part ça, eh bien le DVD est inclus dans un très beau coffret contenant un best-of de Mimi Migraine super-bien foutu, rempli à craquer de tubes bien sûr, mais aussi avec quelques inédits d'excellente facture qui ne dépareraient pas sur un album, et comme vous pouvez le constater, ledit coffret possède une jaquette d'un goût exquis qui pour un peu vérifierait si Farmer est une vraie rousse; bref, rien que pour cet écrin, le coffret est indispensable (hein les mecs ?). Le DVD est aussi intéressant qu'un pin's gratuit dans une boite de Banania, mais bon, l'intérêt est franchement ailleurs (non pas là bande de cochons !). Tiens, j'ai fait mes deux paragraphes du coup ! Comme quoi le sexe, puisqu'il fait vendre, fait aussi couler. De l'encre, bien évidemment.