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Dégoûté, vous lui redonnez sa disquette. Il sourit à pleines dents et l'exhibe fièrement devant vous.

"- Tu es devenu raisonnable, mon ami. Nous sommes quittes, désormais !"

Il quitte la table et vous restez assommé par ce que vous avez fait. Sans la disquette, plus de concert. Les larmes aux yeux, vous vous tournez vers Marco, qui vous sourit.

"- Celà ne me fait pas rire, Marco. Qu'allons-nous devenir ?"

De sa poche, toujours en souriant, Marco sort une disquette identique à celle que vous venez de donner. Vous n'arrivez pas à y croire mais pourtant vous avez bel et bien la disquette dans vos mains.

"- Mais quel prodige...?! Comment se fait-ce ?"

"- Allons, Tuomas. Il était évident qu'il y avait des copies disponibles un peu partout. Connais-tu une seule musique que Zimmer n'ait pas déjà utilisé plusieurs fois ?"

Devant cette logique imparable, vous finissez votre bière, soulagé, puis allez dormir. Le chant du coq vous réveille au 52.